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Histoires partielles et partiales
6 décembre 2010

Ebats, état.

Que me reste-t-il lorsque nous avons fait l'amour et que nos corps se sont séparés ? La douceur de tes yeux, le sourire de tes lèvres et une grande envie de vivre.

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Commentaires
G
Cet article, c'est exactement ce qui me traversait l'esprit quand j'étais avec un garçon merveilleux qui est redevenu finalement un ami. Le contrôle des sentiments, c'est tout un mystère ...
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M
Pour moi, la sensation extrêmement apaisante d'avoir pu souder ensemble tout ce qui me rend vivante. Je suis soulagée. Comment dire... Ces dizaines de détails que l'on constate, que l'on découvre ou que l'on connaît déjà, ces souvenirs que l'on accumule, ces rêves qui nous font avancer,... Ca n'a même pas forcément à voir avec l'autre en particulier, même si c'est souvent le cas.<br /> <br /> Tout ça me submerge comme un tout, que j'y pense consciemment ou pas à ce moment-là et, amener ce tout jusqu'à l'orgasme, c'est lui donner une véritable puissance vitale, palpable, c'est le faire exister. C'est presque un accouchement, finalement. Donner vie à ce qui nous fait vivre... Il ne lui manquerait qu'un nom. Le soulagement qui suit est celui d'être parvenu jusqu'à ce stade, d'avoir pu donner consistance à tout cela, d'avoir trouvé la raison pour laquelle on vit, c'est une création en soi à chaque fois. On y met tellement de soi... <br /> <br /> Nos batteries sont épuisées mais il reste dans nos veine la sensation grisante d'être parvenu à créer quelque chose, l'espace d'un instant et de l'avoir porté si haut. Et de vouloir recommencer ensuite. Parce qu'il faut toujours se rappeler pourquoi on vit.
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K
oui, il stimule l'imagination, et ravive des souvenirs encore un peu trop récents...
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M
C'est stimulant, ce billet
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