7 août 2009
Cache-cache
Un paradoxe qui illustre bien que l'on court toujours après ce que l'on n'a pas.
Cet été, je les vois sur la plage avec les quelques centimètres carré qui leur couvrent le minimum décent. Et je salive si je peux en apercevoir un tout petit peu plu. Y'a pas grand chose de plus à voir pourtant !
Dès l'automne, je serai content d'apercevoir un bout de jambe, un début de ventre. Choses dont j'aurai saturé tout l'été. Mais j'aurai espoir dans le retour du beau temps.
Je commence à mieux réaliser l'atmosphère des tropiques.
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